La luciole, gardienne de knut a joué.
J'ai juste voulu la copier.
D'abord.
9 novembre 1989 : La chute du mur de Berlin
(souvenir vague et en même temps marqué dans ma mémoire – je ne sais pas si c’est LA vérité ou la simple vérité du souvenir que j’ai entretenu avec les années… )
J’ai 9 ans et demi. Il est 20h. Avant, je pense qu’on regardait Santa Barbara à la tévé. Je joue avec des barbies dans le salon en pensant à Kelly Capwell, bientôt j’aurai 10 ans, et ce sera une honte d’encore jouer avec ses barbies, alors j’en profite. Le journal télévisé commence. Ma mère m’appelle, elle me dit d’arrêter de jouer, de venir écouter, nous vivons un grand moment historique. J’obéis (qu’est ce que j’étais sage à l’époque !). Je vois des gens pleurer, je vois des gens heureux, et ce mur que tout le monde casse avec effervescence. Je ne comprends pas ce qu’il se passe, mes parents m’expliquent brièvement. Je pense être bouche bée devant les images, ma barbie sans jupe à la main. Tout d’un coup, je prends conscience du monde, de l’importance de ce que des gens comme moi peuvent vivre. L’Allemagne, c’est pas si loin je crois.
Avant cet évènement, j’étais une petite fille fermée dans son petit monde qui comptait : son village, sa ville pas trop loin, ses montagnes tout autour et la mer en été. À partir de ce jour, je devenais citoyenne du monde, je m’ouvrais.
31 août 1997 : La mort de Lady Di
Aucun souvenir particulier d’émotion. Je m’en fous, je suis une ado, seul mon nombril compte, et croyez-moi, il y a bien assez d’émotions comme ça là dedans. Ohh oui, je me rappelle des gens qui pleurent et des gerbes de fleurs à n’en plus finir, et surtout du début de l’enquête comme un roman policier. Qui a osé tuer la princesse ? Ça me rend un peu triste, mais bon… pas de quoi fouetter un chat.
11 juillet 1998 : La finale de la Coupe du Monde de Foot
J’ai raté mon BAC. Je m’en veux, je suis triste, déçue, amère et très en colère. Je ne sais pas ce que je vais faire l’année prochaine. Heureusement, il y a les amis et les bleus qui nous donnent des sensations fortes. Ce soir là, nous sommes dans le jardin des parents d’un ami qui sont absents. Le pastis et le vin coulent à flot, les merguez cuisent sur le barbeuk, et le son de la tévé est presque à son maximum. Je porte une petite robe en coton bleu, blanc et rouge. Ma sœur aussi. À la fin du match, nous descendons en centre ville, je crois que toute la ville s’y est donnée rendez-vous, je n’ai jamais vu autant de monde sur le boulevard, c’est l’anarchie totale. Les autos qui essaient de se frayer un passage sont chamboulées, les gens montent dessus, crient, ça klaxonne, ça boit dans la rue, on se perd avec les amis, et ça fait vraiment du bien tout se bonheur, toute cette folie.
31 décembre 1999 : l'arrivée du 21e siècle
Je suis en Haute-Savoie. Nous sommes deux couples d’amis. Il y a beaucoup de neige et nous sommes tout près des pistes de ski. La soirée ne commence pas très bien. Mon chum (le même depuis 3 ans) me boude et je ne sais pas pourquoi, personne ne sait pourquoi, je me demande si lui-même sait pourquoi. On s’emmerde un peu. Avant minuit, on décide de mettre nos combinaisons et de partir sur les pistes avec nos luges de compétition (avec volant, siège et tout) et une bouteille de champagne. Et c’est comme ça, sous un ciel étoilé, au beau milieu d’une piste de ski déserte, que nous passerons à un nouveau siècle, avec de la boisson, de quoi fumer et des descentes sur la piste damnée en luge à toute vitesse. Des personnes du chalet voisin nous rejoindront avec des sacs plastiques et autres supports à fesses glissants.
(souvenir vague et en même temps marqué dans ma mémoire – je ne sais pas si c’est LA vérité ou la simple vérité du souvenir que j’ai entretenu avec les années… )
J’ai 9 ans et demi. Il est 20h. Avant, je pense qu’on regardait Santa Barbara à la tévé. Je joue avec des barbies dans le salon en pensant à Kelly Capwell, bientôt j’aurai 10 ans, et ce sera une honte d’encore jouer avec ses barbies, alors j’en profite. Le journal télévisé commence. Ma mère m’appelle, elle me dit d’arrêter de jouer, de venir écouter, nous vivons un grand moment historique. J’obéis (qu’est ce que j’étais sage à l’époque !). Je vois des gens pleurer, je vois des gens heureux, et ce mur que tout le monde casse avec effervescence. Je ne comprends pas ce qu’il se passe, mes parents m’expliquent brièvement. Je pense être bouche bée devant les images, ma barbie sans jupe à la main. Tout d’un coup, je prends conscience du monde, de l’importance de ce que des gens comme moi peuvent vivre. L’Allemagne, c’est pas si loin je crois.
Avant cet évènement, j’étais une petite fille fermée dans son petit monde qui comptait : son village, sa ville pas trop loin, ses montagnes tout autour et la mer en été. À partir de ce jour, je devenais citoyenne du monde, je m’ouvrais.
31 août 1997 : La mort de Lady Di
Aucun souvenir particulier d’émotion. Je m’en fous, je suis une ado, seul mon nombril compte, et croyez-moi, il y a bien assez d’émotions comme ça là dedans. Ohh oui, je me rappelle des gens qui pleurent et des gerbes de fleurs à n’en plus finir, et surtout du début de l’enquête comme un roman policier. Qui a osé tuer la princesse ? Ça me rend un peu triste, mais bon… pas de quoi fouetter un chat.
11 juillet 1998 : La finale de la Coupe du Monde de Foot
J’ai raté mon BAC. Je m’en veux, je suis triste, déçue, amère et très en colère. Je ne sais pas ce que je vais faire l’année prochaine. Heureusement, il y a les amis et les bleus qui nous donnent des sensations fortes. Ce soir là, nous sommes dans le jardin des parents d’un ami qui sont absents. Le pastis et le vin coulent à flot, les merguez cuisent sur le barbeuk, et le son de la tévé est presque à son maximum. Je porte une petite robe en coton bleu, blanc et rouge. Ma sœur aussi. À la fin du match, nous descendons en centre ville, je crois que toute la ville s’y est donnée rendez-vous, je n’ai jamais vu autant de monde sur le boulevard, c’est l’anarchie totale. Les autos qui essaient de se frayer un passage sont chamboulées, les gens montent dessus, crient, ça klaxonne, ça boit dans la rue, on se perd avec les amis, et ça fait vraiment du bien tout se bonheur, toute cette folie.
31 décembre 1999 : l'arrivée du 21e siècle
Je suis en Haute-Savoie. Nous sommes deux couples d’amis. Il y a beaucoup de neige et nous sommes tout près des pistes de ski. La soirée ne commence pas très bien. Mon chum (le même depuis 3 ans) me boude et je ne sais pas pourquoi, personne ne sait pourquoi, je me demande si lui-même sait pourquoi. On s’emmerde un peu. Avant minuit, on décide de mettre nos combinaisons et de partir sur les pistes avec nos luges de compétition (avec volant, siège et tout) et une bouteille de champagne. Et c’est comme ça, sous un ciel étoilé, au beau milieu d’une piste de ski déserte, que nous passerons à un nouveau siècle, avec de la boisson, de quoi fumer et des descentes sur la piste damnée en luge à toute vitesse. Des personnes du chalet voisin nous rejoindront avec des sacs plastiques et autres supports à fesses glissants.
Dans 10 jours, j'aurai 20 ans. Vingt ans. À l'aube de ma vie d'adulte, à l'aube d'un nouveau siècle. Je me demande si ça glissera tout seul mais je suis pleine d'espoir en regardant le ciel.
11 septembre 2001 : l'attentat au World Trade Center à New York
Il est environ 15h ou 16h, je fais une visite d’appartement à un couple. L’appart est moche, difficile à vendre. Alors que nous sommes sur le balcon ensoleillé à admirer la vue sur le parking, des personnes discutent en bas. On me dit qu’il se passe quelque chose aux USA, que des tours sont touchées. Je crois à une blague, ou plutôt je ne cherche pas à comprendre, et je suis pressée, il faut encore je montre la salle de bain la plus laide du monde. Lorsque je rentre chez moi vers 19h30, mon chum (un autre) est devant la tévé avec un ami. Je vois les images, ils m’expliquent, je crois encore à une blague. Ça ressemble un peu trop à un film, c’est irréel. Mais c’est bel et bien vrai, c’est étourdissant, voir ces images, encore et encore, sans cesse, me donne le vertige.
1er janvier 2002 : l'Euro débarque
La seule chose à laquelle je pense en ce 1er janvier, c’est que je vais devoir devenir trilingue. Depuis 1 an, je parle déjà en francs et en anciens francs, maintenant, il va falloir faire la conversion en euros. Entre nous, j’ai encore parlé longtemps en francs aux clients… Les maisons, ça se négocie en centaines de milliers de francs, pas en euros !
26 décembre 2004 : le tsunami en Asie
C’est mon premier noël au Québec. Je viens de découvrir le lait de poule au Brandy, la tourtière et le ketchup aux fruits. Je me rappelle être chez les grands-parents de mon chum (encore un autre, rassurez-vous, c'est le dernier), et regarder les infos. Bien entendu, on parle beaucoup des touristes canadiens sur place en vacances, et un peu des locaux. Ça me fout toujours la gerbe. Et je déteste la gelée d’atocas.
2 avril 2005 : la mort de Jean Paul II
Beaucoup de bruit pour rien. Il est vieux, il est mort, voilà tout. Qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Si au moins il avait ressuscité, ça aurait un intérêt. Mais là… franchement…
Je rajoute une date :
6 mai 2007 : élection de Notre… euhhhh… Président
La veille j’avais traversé la ville pour aller voter. Même de si loin, je me devais d’accomplir mon devoir et de profiter de mon seul droit fondamental de citoyenne en ce monde. Droit que nous n’avons pas tous, et encore moins toutes. Raison de plus pour ne jamais le lâcher. Le lendemain, dimanche, j’allume la tévé vers 14h55. À l’époque, j’avais le câble et TV5. Il fait trop beau dehors, je suis seule et je veux profiter de mon après-midi au soleil. Dans 5 min, je saurai si ce sera dans la joie ou la tristesse. Je les écoute, je regarde dehors, je bois un verre d’eau et… j’éteins la tévé, ferme la porte, et m’en vais. Je pédale. Je suis un peu en colère, mais surtout déçue, très déçue… Je me dis que je ne rentrerai pas en France avant au moins 5 ans si c’est comme ça. Je n’ai pas envie de parler. Je n’ai pas envie, à ce moment là, qu’on se rende compte que je suis française. Oui j’ai honte, de ma patrie et de son choix. Heureusement qu’il y a le soleil, et l’accent québécois que j’intègre de plus en plus.
11 septembre 2001 : l'attentat au World Trade Center à New York
Il est environ 15h ou 16h, je fais une visite d’appartement à un couple. L’appart est moche, difficile à vendre. Alors que nous sommes sur le balcon ensoleillé à admirer la vue sur le parking, des personnes discutent en bas. On me dit qu’il se passe quelque chose aux USA, que des tours sont touchées. Je crois à une blague, ou plutôt je ne cherche pas à comprendre, et je suis pressée, il faut encore je montre la salle de bain la plus laide du monde. Lorsque je rentre chez moi vers 19h30, mon chum (un autre) est devant la tévé avec un ami. Je vois les images, ils m’expliquent, je crois encore à une blague. Ça ressemble un peu trop à un film, c’est irréel. Mais c’est bel et bien vrai, c’est étourdissant, voir ces images, encore et encore, sans cesse, me donne le vertige.
1er janvier 2002 : l'Euro débarque
La seule chose à laquelle je pense en ce 1er janvier, c’est que je vais devoir devenir trilingue. Depuis 1 an, je parle déjà en francs et en anciens francs, maintenant, il va falloir faire la conversion en euros. Entre nous, j’ai encore parlé longtemps en francs aux clients… Les maisons, ça se négocie en centaines de milliers de francs, pas en euros !
26 décembre 2004 : le tsunami en Asie
C’est mon premier noël au Québec. Je viens de découvrir le lait de poule au Brandy, la tourtière et le ketchup aux fruits. Je me rappelle être chez les grands-parents de mon chum (encore un autre, rassurez-vous, c'est le dernier), et regarder les infos. Bien entendu, on parle beaucoup des touristes canadiens sur place en vacances, et un peu des locaux. Ça me fout toujours la gerbe. Et je déteste la gelée d’atocas.
2 avril 2005 : la mort de Jean Paul II
Beaucoup de bruit pour rien. Il est vieux, il est mort, voilà tout. Qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Si au moins il avait ressuscité, ça aurait un intérêt. Mais là… franchement…
Je rajoute une date :
6 mai 2007 : élection de Notre… euhhhh… Président
La veille j’avais traversé la ville pour aller voter. Même de si loin, je me devais d’accomplir mon devoir et de profiter de mon seul droit fondamental de citoyenne en ce monde. Droit que nous n’avons pas tous, et encore moins toutes. Raison de plus pour ne jamais le lâcher. Le lendemain, dimanche, j’allume la tévé vers 14h55. À l’époque, j’avais le câble et TV5. Il fait trop beau dehors, je suis seule et je veux profiter de mon après-midi au soleil. Dans 5 min, je saurai si ce sera dans la joie ou la tristesse. Je les écoute, je regarde dehors, je bois un verre d’eau et… j’éteins la tévé, ferme la porte, et m’en vais. Je pédale. Je suis un peu en colère, mais surtout déçue, très déçue… Je me dis que je ne rentrerai pas en France avant au moins 5 ans si c’est comme ça. Je n’ai pas envie de parler. Je n’ai pas envie, à ce moment là, qu’on se rende compte que je suis française. Oui j’ai honte, de ma patrie et de son choix. Heureusement qu’il y a le soleil, et l’accent québécois que j’intègre de plus en plus.
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Je ne veux pas me comparer... ni argumenter... mais à certaines dates que tu nommes, ça nous remet en question et fait réfléchir... à savoir ce qui s'passait nous... à pareille date ???
Moi... l'an 2000 en plus de fêter mon Anniversaire, hé oui ! 36 ans... (ça va faire bientôt 10 ans de celà.. ayoye !!!) Nous fêtions cette nouvelle année dans l'Vieux Montréal devant les caméras qui filmaient plusieurs villes du monde une après l'autre... et en plus... plusieurs personnes nous ont reconnus ce soir là... on nous voyait la binette à la tivi !
Mais je préfère ne pas me souvenir du 11 septembre... un moment douloureux pour nous.... non pas à cause des tours qui s'effrondraient... si... en fait... OUI ! Mais pour la descente démoralisante que mon copain a vécu ces jours là... qui fut long en s'en remettre ! TRÈS LONG même ! Ouf ! »»» sans commentaire !
Sauf qu'en 1989 je ne jouais plus aux barbies depuis belle lurette... mais j'effectuais MON TOUT PREMIER VOYAGE !!! Hé! Hé! De là... la piqûre !!!!
Bon... on s'voit quand mautadine là ??????? En plus... j'ai eu un beau cadeau... alors si tu viens, on ira s'promener dans mon ti-coin et j'te l'ferais essayer ! ;) :P
TourlouBékos !
Mon Ti-Chez-Moi a dit…
12 juin 2009 à 07:42
J'aime bien cet article. À l'époque, à chacune des époques j'étais (je suis toujours) inquiète de ce que me réservais l'avenir. Je n'arrive jamais à croire en ma bonne étoile. Et pourtant...........
Dès que je rentre à la maison ce soir, je reprends ton sujet sur mon blog.
Bon bilan à faire de temps en temps
Gros becs
Cherrybee a dit…
12 juin 2009 à 12:12
Pour la chute du mur j'étais trop petite. Je ne me souviens de rien, si ce n'est que vu la date je venais d'avoir une petite soeur, et que c'est un des plus beau cadeau de la vie d'avoir une soeur!
La finale de la Coupe du Monde, j'étais à Ste Colombe, nous étions chez des amis, j'avais fait des drapeaux bleu blanc rouge sur mes joues, c'était fou!
La mort de Lady Di je m'en souviens super bien, je n'avais pas dormi de la nuit, j'avais vu les premières images à 5h du mat, le choc...
Bon il faudrait mieux que je fasse un post sur la question peut-être?
Je t'embrasse
anne-laure a dit…
13 juin 2009 à 03:34
ben ça c'est un très bel article. Tjs aussi bien écrit, j'admire ta plume, elle me fait drôlement envie. Tu as un certain don ma ptite Mandy...
bon il est 23h08 je vais aller m'effondrer dans le lit,n même si on est samedi soir. D'abord on s'en fout que ce soit samedi soir car chez nous, ça fait un moment qu'on s'en fout des samedis soir (avec sacha, ça reste un soir comme les autres où on doit le coucher à 20h45!!!).
chuis faaaaa-ha-tiguée... vivement lundi soir, que je me débarasse de cette épée de damoclès... ça faisait une éternité que je n'avais pas vécu de telles sensations à la fois grisantes et désagréables...
bizoo
Unknown a dit…
13 juin 2009 à 17:10
Quelle mémoire ! J'avoue que je n'ai pas de souvenirs aussi précis de la chute du mur de Berlin même si on en avait parlé au bahut. Quant à la mort de Lady Di, je me souviens que ça m'avait surprise, on ne s'y attend pas et on a presque tendance à penser que les gens célèbres sont immortels...
pour la coupe du monde, même pas j'ai regardé la finale mais je me souviens qu'à cette période là j'étais allée aux 20 ans de ma belle soeur et qu'Alexandre qui avait 2 ans était lui dans son lit, mes voisins d'en dessous le surveillant par le baby phone. Ils mangeaient et lui dans son lit chantait à tue tête "on est en finale !" mdr quand j'y repense !
par cntre le match.... je n'ai jamais été fana de foot ;-)
Concernant le tarot, à 5 c'est ce que je préfère aussi même si les puristes affirment que c'est à 4 qu'il faut jouer. Z'y connaissent rien ;-)
Bises
Promesse a dit…
15 juin 2009 à 14:06
Tout d'abord, je tiens a rectifier que ce n'est pas une honte de jouer a la Barbie a 10 ans. A 11, peut-etre...
J'aime bien ton reveillon de l'an 2000 (a part le chum qui tire la tronche). Tout a fait le genre de soiree qui marque, original et en bonne compagnie. A mille lieues des fetes organisees "tchin-tchin" ou il faut a tout prix s'amuser.
Quant a l'election de Sarkozy, j'aurais pu ecrire la meme chose pour la reelection de Bush. Sauf qu'en plus, j'avais pleure. Et que je ne me disais pas que je n'irai pas dans ce pays puisque j'y etais deja...
En tout cas, c'est bien sympa ce genre de post, ca nous permet de connaitre un tout petit peu plus les gens, de partager des moments d'intimite.
A part ca, j'espere que le 21eme siecle tiendra ses promesses pour toi :o)
Kisses
babystorique a dit…
15 juin 2009 à 19:47
coucou cuicui! merci de croire en moi, c beau de voir des gens qui croient plus que vous ne croyez en vous-même!!! j'espère que je ne te décevrai pas...
des bisous-zou-zou (te formalise pas, je suis fatiguée!!!)
bumhee a dit…
16 juin 2009 à 17:35
Merci pour tes petits comm' sur le blog de bebe-bean :-)
C'est clair que je suis limite degoutee que ses premiers mots soient anglais mais bon, faut dire qu'il passe la plus grande partie de son temps eveille a la creche...
(soupir)
babydouille a dit…
17 juin 2009 à 19:03
te méprends pas mais cette nuit, on l'a passée ensemble. Enfin dans mon rêve je veux dire! lol C'était sympa, tu m'avais invité. voilà. Etrange sensation au réveil de t'avoir rencontrée. bref!
pour l'élève la procédure de signalement a été enclenchée. Pas vraiment contre son père qui ne le bat pas (enfin j'entends par là il ne le maltraite pas, il lui fout de bonnes claques pour avoir le dessus sur son môme infernal...). Mais donc plutôt contre sa mère alcoolique et qui lui fait subir on ne sait trop quoi. Preuve confirmée quand il a dit aujourd'hui à ma collègue (celle qui est dans ma classe le jeudi) qu'il était content car ce WE il le passait chez son père et pas chez sa mère... Ca me tord le bide tu peux pas savoir... bref! c'est en cours, y'a toute une procédure à suivre.
bizzzz
bumhee a dit…
18 juin 2009 à 13:03