Enfin tu l'as dis publiquement.
Je peux donc maintenant faire de même.
Étaler ces mots qui raisonnent dans ma tête, qui bouillonnent et se mouillent.
Tu sais mieux que quiconque ce que tu représentes pour moi, ce que tu m'as apporté en ces deux années.
Deux ans et tant de choses partagées : des carrés de chocolat échangés sous le manteau; des mélodies souvent; des sourires tout le temps; des discussions à n'en plus finir à n'importe qu'elle heure, n'importe où et sur n'importe quoi, m'enfin... surtout sur toi et moi; de la peinture de cheveux et des recettes de vivre-mieux; des expositions de chaussures dans les vitrines; des vidéos pourries de ce bas-monde; des histoires politiques d'ici et d'ailleurs; des e-mails par centaines; des caresses à Saïmon; des heures au téléphone à tromper l'ennui et à rire de la vie; des mouchoirs en papier; des promenades à rêver; des imbéciles à oublier; des soupes en hiver et des crèmes glacées le reste de l'année; des amis pour l'éternité; et peut être même ton canapé.
Tu as fait de moi une femme, qui a les ongles manucurés, des talons casse-pieds, et qui aime mieux se regarder et s'apprécier.
Tu as fait de moi quelqu'un de meilleur, qui est capable de s'aimer.
Tu me fais encore plus aimer la vie de par ta fausse naïveté.
Il manquera dorénavant quelque chose à Montréal, c'est le sourire de ... mon Amie tant aimée.
Mais va ma Caspoulette, là-bas c'est pas plus mal. Il y a plein de chouettes filles à rencontrer, de la famille à aimer, de bonnes choses à manger (étiquetées sans OGM), et pour sûr deux jobs à trouver.
De toute façon, c'est pas compliqué, on ne se laissera pas tomber.
Une petite dernière pour nous, à jamais.
J'ai choisi une version différente, parce que les choses changent et qu'il faut l'accepter (mais c'est pas plus mauvais) :
Je peux donc maintenant faire de même.
Étaler ces mots qui raisonnent dans ma tête, qui bouillonnent et se mouillent.
Tu sais mieux que quiconque ce que tu représentes pour moi, ce que tu m'as apporté en ces deux années.
Deux ans et tant de choses partagées : des carrés de chocolat échangés sous le manteau; des mélodies souvent; des sourires tout le temps; des discussions à n'en plus finir à n'importe qu'elle heure, n'importe où et sur n'importe quoi, m'enfin... surtout sur toi et moi; de la peinture de cheveux et des recettes de vivre-mieux; des expositions de chaussures dans les vitrines; des vidéos pourries de ce bas-monde; des histoires politiques d'ici et d'ailleurs; des e-mails par centaines; des caresses à Saïmon; des heures au téléphone à tromper l'ennui et à rire de la vie; des mouchoirs en papier; des promenades à rêver; des imbéciles à oublier; des soupes en hiver et des crèmes glacées le reste de l'année; des amis pour l'éternité; et peut être même ton canapé.
Tu as fait de moi une femme, qui a les ongles manucurés, des talons casse-pieds, et qui aime mieux se regarder et s'apprécier.
Tu as fait de moi quelqu'un de meilleur, qui est capable de s'aimer.
Tu me fais encore plus aimer la vie de par ta fausse naïveté.
Il manquera dorénavant quelque chose à Montréal, c'est le sourire de ... mon Amie tant aimée.
Mais va ma Caspoulette, là-bas c'est pas plus mal. Il y a plein de chouettes filles à rencontrer, de la famille à aimer, de bonnes choses à manger (étiquetées sans OGM), et pour sûr deux jobs à trouver.
De toute façon, c'est pas compliqué, on ne se laissera pas tomber.
Une petite dernière pour nous, à jamais.
J'ai choisi une version différente, parce que les choses changent et qu'il faut l'accepter (mais c'est pas plus mauvais) :
N'empêche que tu vas crissement me manquer...
R.A.V. : Tu crois que si je prends mon premier cours de guitare je peux dire que j'ai comme ambition de jouer ça ?
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Je t'aime...
Caspiteuse a dit…
23 juin 2009 à 07:20
C'en est une drolement chouette de declaration.
Et je crois que Caspirouette t'a tout dit :-)
babycadum a dit…
24 juin 2009 à 13:25
Elle me donne la chair de poule cette déclaration....
Vous allez vous retrouver très vite pour cette fabuleuse journée du mariage et, grâce au net, vous ne serez jamais loin l'une de l'autre. Il y a des gens qui marquent notre vie d'une empreinte indélébile et qui seront toujours dans nos coeurs, où qu'ils soient...
Merci pour ces jolis mots qui lui ont sans doute fait monter les larmes aux yeus.
Bisous
promesse a dit…
24 juin 2009 à 13:26
Bon je suis trop sensible pour lire ce genre de chose en ce moment...
Je suis de tout coeur avec vous les filles.
Bises
anne-laure a dit…
24 juin 2009 à 16:27
ouh là là, je me suis empressée de filer sur le blog de maïté pr comprendre ce message codé. Quel choc... tu pourras lire le comm que je lui ai laissé, j'y ai tout dit...
c'est un peu le coeur étreint que je te remercie malgré tout du fond du coeur pr ta générosité et ta gentillesse. Merci pr le message webcam, j'étais morte de rire!!! Biensûr que je viendrai à montréal, découvrir cette cité magique, ce peuple chaleureux dont on me vante tant les mérites. Avec 2 mois de vacs l'été et 6 semaines à peu près le reste de l'année, ça devrait le faire!!!
je t'embrasse fort, ainsi que saïmon qui restait d'une impassivité exemplaire face aux pirouettes et autres démembrements que tu lui faisais subir... mdr!!!
je t'embrasse fort ma belle
et je pense bien à vous... si tu savais...
bumhee a dit…
27 juin 2009 à 16:38
Tout est joliement écrit....Pour une âme sensible comme moi.....
Bisous
auré
Auré a dit…
28 juin 2009 à 16:24