Première journée à Beyrouth.
J'ai dormi longtemps, je ne dois pas oublier que je suis aussi en vacances. Je me réveille avec les bruits de la ville : les chantiers qui n'en finissent plus, les cloches des églises sporadiques, les voitures tout le temps, les scooters souvent, la vie toujours.
Lorsque je suis prête à sortir, il ne reste que quelques heures de lumière.
Je ne prévois donc pas la grande promenade du séjour et me dirige vers le centre-ville.
Lorsque je décide de sortir mon appareil photo c'est pour cette image qui reflète tout à fait le Liban :
J'ai dormi longtemps, je ne dois pas oublier que je suis aussi en vacances. Je me réveille avec les bruits de la ville : les chantiers qui n'en finissent plus, les cloches des églises sporadiques, les voitures tout le temps, les scooters souvent, la vie toujours.
Lorsque je suis prête à sortir, il ne reste que quelques heures de lumière.
Je ne prévois donc pas la grande promenade du séjour et me dirige vers le centre-ville.
Lorsque je décide de sortir mon appareil photo c'est pour cette image qui reflète tout à fait le Liban :
La mixité, la proximité, les religions, les communautés, le neuf et l'ancien, et les nuages sur tout ça. Un peu menaçant ou prêt pour une éclaircie, on ne sait pas trop, on attend... on espère.
La mosquée est neuve, immense, imposante, avec 4 minarets. Juste à côté, une église catholique, en pierre, ancienne. À gauche de cette église catholique, séparée par un site archéologique romain, une église orthodoxe complètement rénovée après la guerre, et à 5 mètres d'elle, une autre église catholique. Et pas loin de là, encore des mosquées et encore des églises. Toujours, tout le temps.
Les journées sont marquées par le tintement des cloches et les muezzins qui appellent à la prière. La religion fait partie de la vie, intensément, pour tout le monde. Les Libanais ne peuvent vivre sans, une question de survie, une question de culture, un mode de vie. Qu'il en soit encore ainsi pendant longtemps, inch'allah !
La mosquée est neuve, immense, imposante, avec 4 minarets. Juste à côté, une église catholique, en pierre, ancienne. À gauche de cette église catholique, séparée par un site archéologique romain, une église orthodoxe complètement rénovée après la guerre, et à 5 mètres d'elle, une autre église catholique. Et pas loin de là, encore des mosquées et encore des églises. Toujours, tout le temps.
Les journées sont marquées par le tintement des cloches et les muezzins qui appellent à la prière. La religion fait partie de la vie, intensément, pour tout le monde. Les Libanais ne peuvent vivre sans, une question de survie, une question de culture, un mode de vie. Qu'il en soit encore ainsi pendant longtemps, inch'allah !
3 becs michokotés:
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L'Homme aime beaucoup les cadres. Il fait des compositions avec des cartes anciennes, des flyers, des affiches en tout genre. Moi j'ai tendance à poser les cadres sur les meubles, et à les laisser là... Lui il les accroche. Chacun son truc.
J'ai retrouvé Internet au fait !! (tu l'as remarqué peut-être?)
Merci pour tes carnets de voyage. J'ai rattrapé mon retard. ça fait durer le plaisir de ce voyage merveilleux.
Je t'embrasse
Anne-Laure a dit…
22 janvier 2010 à 03:27
Nos yeux d'occidentaux ne sont pas habitues a cette mixite religieuse. Cela nous semble si decale.
En tout cas, tres belle image, j'aime beaucoup le ciel, qui comme tu dis peut deverser des trombes ou reveler un soleil radieux...
Kisses
babycadum a dit…
22 janvier 2010 à 10:04
Bah encore une fois je dis JE VEEEEEEEEEEUX Y ALLEEEEEEEEEEEEEER!!!!!!!!!!!!!!
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin!!
T'embrasse fort!
Sev(nanie) a dit…
22 janvier 2010 à 12:56